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Fenerbahçe-Olympiakos : a tense encounter approaches !



This Thursday, Olympiakos have a complicated mission away against Fenerbahçe. The objective will be twofold: to build on the initial success gained against Antwerp, and to continue to gain momentum to dispel any doubts cast at the start of the season. Anything but fun.


For any European team, going to the Şükrü-Saracoğlu stadium is always something different. The kind of trips we remember, if only for the scorching context, and the sometimes hostile atmosphere. This is what the players of Pedro Martins will have to deal with on Thursday, who will face Fenerbahçe for this second fixtureof the Europa League Group Stage. With one idea in mind: to build on the initial success gained against Antwerp with that late and magnificent Oleg Reabciuk strike.


This trip to Turkey may be, depending on the outcome, a tremendous accelerator of the European campaign. A draw or a win, and the mission would be successful, just before the arguably decisive double encounter against Frankfurt. In order to be successful, it will be a question of taming a team from Istanbul which, despite some irregularity in recent years, is still a team accustomed to European games. No less, under the leadership of Vitor Pereira, the former volcanic coach of Olympiakos.


Both top of the league


On the Turkish side, the start of the season has been rather interesting, with Fenerbahçe currently topping the table in the Turkish Superlig, with notably five wins in seven days, but also with the best defense in the league (five goals conceded). The defensive base, by the way, seems to be one of the strengths of the team, around Altay Bayindir and Atilla Szalai. And, as usual, Fenerbahçe has been very active this summer, with notable arrivals including Diego Rossi and Mergim Berisha, who have not yet fully launched their season. Mesut Ozil, on the other hand, seems to have recovered a little, having scored against Frankfurt more notably. And let's not forget Dimitrios Pelkas, who knows Olympiakos more than well …


On the Greek side, the rather lenient schedule in the Superleague allowed the team to heal confidence, despite the small hitch against the Atromitos, but also to arrive to this moment in a leading position, both in the league and in the Europa League. And if the return of Masouras is already clearly visible on the performance of the offensive sector, the recruits are still struggling to be convincing, especially Henry Onyekuru (who undoubtedly knows the Fenerbahçe stadium) and Rony Lopes, who were supposed to bring added value . Absent at the start of the season, Tiquinho Soares openned his goal-scoring tally with three goals in two league games. From there to seeing him start this Thursday, instead of talisman Youssef El Arabi? It’s possible.


Tactically, too, the choices of Pedro Martins will be scrutinised. Will the Portuguese renew his composition with the duo of Camara and Tiquinho at the forefront? What about the midfield, with the last convincing performances by Pierre Kunde which have yet to be rewarded with a start in an important game? A lot of questions, in short, the answer to which will be given on Thursday afternoon, a few minutes before kick-off. But Pedro Martins probably knows it better than anyone: beyond the impact that a success could have in Turkey, three points would put Olympiakos in an ultra-favorable position to continue the European adventure after this first phase.


Valbuena: the X-factor?



But the one who will be scrutinised the most, from both sides, is undoubtedly Mathieu Valbuena. “Petit Vélo” who just celebrated his 37th birthday, will come up against his former club and supporters at the same time. And we know that sometimes this kind of meeting can be a great way to find that little extra motivation to deliver a high level performance. Especially since the French midfielder has accustomed Olympiakos fans to decisive actions in Europe, like the cross for Ahmed Hassan last year during his reunion ... with Olympique Marseille. Bis repetita this Thursday? That’s all we ask!


(NOTE FROM EDITOR: This article was written in French. The original language article can be found below)


Fenerbahçe-Olympiakos : déplacement chaud en approche !


Ce jeudi, l’Olympiakos doit négocier un déplacement compliqué sur la pelouse de Fenerbahçe. L’objectif sera double : bonifier le succès initial acquis face à Antwerp, et continuer de monter en puissance pour dissiper les doutes de ce début de saison. Tout sauf une partie de plaisir.


Pour n’importe quelle équipe européenne, se rendre au stade Şükrü-Saracoğlu est toujours un moment à part. Le genre de déplacements dont on se souvient, ne serait-ce que pour le contexte bouillant, et l’ambiance parfois hostile. C’est ce que vont devoir négocier ce jeudi les joueurs de Pedro Martins, qui affrontent donc Fenerbahçe pour cette deuxième journée de Ligue Europa. Avec une idée en tête : bonifier le succès initial acquis face à Antwerp sur ce aussi tardif que magnifique d’Oleg Reabciuk.


Car ce voyage en Turquie peut-être, en fonction de l’issue, un formidable accélérateur de la campagne européenne. Un nul ou une victoire, et l’opération serait belle avant la double confrontation sans doute décisive face à Francfort. Mais pour cela, il s’agira de dompter une équipe stambouliote qui, malgré une certaine irrégularité ces dernières années, n’en reste pas moins une formation habituée aux joutes européennes. Sous la houlette, qui plus est, de Vitor Pereira, l’ancien technicien volcanique de l’Olympiakos.


Un duel de leaders


Côté turc, le début de saison est plutôt intéressant, puisque Fenerbahçe est l’actuel leader de Superlig, avec notamment cinq victoires en sept journées, mais aussi un statut de meilleure défense du championnat (cinq buts encaissés). L’assise défensive, d’ailleurs, semble être l’un des points forts de l’équipe, autour d’Altay Bayindir ou encore d’Atilla Szalai. Et, comme à son habitude, Fenerbahçe a été très actif cet été, avec des arrivées remarquées comme celles de Diego Rossi ou de Mergim Berisha, qui n’ont pas encore totalement lancé leur saison. Mesut Ozil, lui, semble avoir retrouvé un peu d’allant, puisqu’il a été auteur du but sur la pelouse de Francfort, notamment. Et n’oublions pas Dimitrios Pelkas, qui connaît plus que bien l’Olympiakos… Côté grec, le calendrier plutôt dégagé en Superleague a permis de soigner la confiance, malgré le petit accroc face à l’Atromitos, mais aussi d’arriver à cette confrontation en position de leader, que ce soit en championnat mais aussi en Europa League. Et si le retour de Masouras est déjà bien visible sur le rendement du secteur offensif, les recrues peinent encore à se montrer convaincantes, surtout Henry Onyekuru (qui connaît sans doute bien le stade de Fenerbahçe) et Ronny Lopes, supposées amener une plus-value. Absent sur le début de saison, Tiquinho Soares a débloqué son compteur avec trois buts en deux matchs de championnat. De là à le voir titulaire ce jeudi, en lieu et place de Youssef El Arabi ? Possible.

Tactiquement, aussi, le choix de Pedro Martins sera scruté. Le Portugais va-t-il reconduire sa composition avec le duo de Camara et Tiquinho en pointe ? Quid du milieu de terrain, avec les dernières prestations convaincantes de Pierre Kunde qui n’ont, pour l’instant, pas encore été récompensées par une titularisation dans un match important ? Beaucoup de questions, en somme, dont la réponse sera donnée jeudi dans l’après-midi, à quelques minutes du coup d’envoi. Mais Pedro Martins le sait sans doute mieux que quiconque : au-delà de l’impact que pourrait avoir un succès en Turquie, trois points placeraient l’Olympiakos dans une position ultra-favorable pour continuer l’aventure européenne après cette première phase.


Valbuena, le facteur X ?


Mais celui que l’on scrutera le plus, d’un côté comme de l’autre, est sans aucun doute Mathieu Valbuena. Petit Vélo, qui vient de fêter ses 37 ans, retrouve son ancien club et son ancien public par la même occasion. Et l’on sait que, parfois, ce genre de rencontre peut être un formidable moyen de trouver le petit surplus de motivation pour délivrer une prestation de haut niveau. Surtout que le milieu français a habitué les fans de l’Olympiakos à des actions décisives en Europe, à l’image de son centre pour Ahmed Hassan lors des retrouvailles… avec l’Olympique de Marseille. Bis repetita ce jeudi ? C’est tout ce qu’on demande !


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